4 conseils pour rendre votre maison positive

Une maison à énergie positive consiste à produire sa propre énergie afin de couvrir l’ensemble des dépenses de la maison et même davantage par opposition à la maison passive où il faut au contraire minimiser ses besoins. Quels sont les investissements à réaliser ? Nos conseils.

Le chauffage

La maison à énergie positive repose sur l’exploitation d’une énergie renouvelable, photovoltaïque ou éolienne. L’excédent produit peut alors être revendu. Mais avant d’investir dans de lourds équipements, on peut s’équiper d’appareils performants et fiables. La pompe à chaleur par exemple utilise l’énergie présente dans l’air, le soleil ou le sol pour chauffer la maison. Dans le même esprit, un chauffe-eau thermodynamique comprend lui aussi une pompe à chaleur air/eau pour produire de l’eau chaude.

Pensez également à l’installation d’une dalle chauffante, elle permet de bloquer les pertes d’énergie par le sol.

2) L’électricité

Si vous habitez une maison passive bien isolée ou à basse consommation d’énergie, il vous suffit d’ajouter un système de production d’électricité pour la transformer en maison active. Investir dans une chaudière à cogénération au bois ou à granulés vous permettra de combiner la production de chaleur et d’électricité, y compris la production d’eau chaude. Mais c’est un investissement onéreux qui nécessite de faire un crédit pour travaux. Néanmoins le retour sur investissement est relativement court, 7 ans en moyenne. Pour obtenir un financement à un taux intéressant, mieux vaut avoir une bonne cote de crédit. Pour aller plus vite, il est possible de souscrire une carte de crédit pour refaire son crédit.

L’installation de panneaux solaires est une solution, mais elle dépend de l’exposition de la maison et de la configuration du toit. Sur les toits plats par exemple, c’est quasiment impossible.

 

3) Les fenêtres

Des fenêtres plus grandes pour maximiser l’apport de la lumière ou, à défaut, dont les matériaux sont à forte inertie favorisent l’apport de chaleur.

4) L’isolation

Les maisons à énergie active se caractérisent par une très bonne isolation thermique. La laine de roche par exemple est un matériau écologique performant.

Un expert peut réaliser un audit énergétique pour vous conseiller sur les améliorations à apporter, par exemple supprimer les ponts thermiques, mettre en place une ventilation à double flux, installer un puits canadien pour rafraîchir la maison l’été, optimiser l’orientation de la maison en plantant au nord des résineux et au sud des arbres à feuilles caduques.

PME : 5 erreurs de comptabilité à éviter absolument

Peu de chefs d’entreprise ont un goût avéré pour la comptabilité et pourtant elle garantit la viabilité de l’entreprise en leur donnant une vision claire de sa santé financière. Voici donc les erreurs ou les omissions les plus courantes à éviter.

  1. Confondre le chiffre d’affaires et le bénéfice

Cette erreur est le plus souvent commise chez les travailleurs autonomes parce qu’ils omettent d’ouvrir un compte bancaire professionnel et de demander une carte bancaire corporative. Or il est vraiment nécessaire de bien différencier les dépenses. De plus, un compte pro bien géré leur permettrait d’obtenir plus facilement un financement en vue d’un investissement futur.

  1. Ne pas archiver ses reçus

Ne pas rassembler au même endroit les reçus des dépenses relatives à l’activité professionnelle représente à l’arrivée de nombreuses déductions fiscales que l’on ne pourra pas demander à l’impôt. Il faudrait les trier par date, par nature, et les conserver durant toute la durée légale, soit pendant 6 ans.

  1. Ne pas investir dans un logiciel de comptabilité

Certains entrepreneurs pensent qu’un fichier Excel est bien suffisant pour mentionner les entrées et les sorties d’argent. Or les erreurs de saisie ou les omissions sont lourdes de conséquences. Les consigner dans un logiciel adéquat est une des conditions pour avoir une vision précise de l’équilibre financier. D’autant qu’un tel outil est utile pour la facturation, les relances clients, la vérification de la conciliation bancaire, etc. À défaut, pourquoi ne pas déléguer la mise à jour de sa tenue de livre à Montréal ? La saisie sera moins lourde au moment de publier les états financiers.

  1. Générer des factures non conformes à la législation

Les factures doivent comporter des mentions obligatoires :

  • Le nom du fournisseur,
  • La date,
  • Le montant total,
  • Le montant de la taxe applicable,
  • Le numéro d’inscription au fichier TPS et TVQ du fournisseur,
  • Le nom de l’acheteur ou de l’entreprise,
  • Les modalités de paiement,
  • La description du service ou des produits vendus.

Si vous n’êtes pas sûr des vôtres, demandez conseil à un professionnel.

  1. Ne pas définir un budget précis

Définir un budget pour l’année en cours est nécessaire afin de limiter ses dépenses et atteindre les objectifs financiers que l’on s’est fixés. C’est aussi un bon moyen de diminuer ses charges d’exploitation et générer ainsi une meilleure rentabilité donc de plus gros bénéfices au cours de l’exercice comptable.

Le cyclisme est-il un moyen de transport risqué?

Troquer sa voiture contre le vélo est écolo, mais aussi bénéfique pour la santé. Mais, comme tout moyen de transport, il comporte un certain nombre de risques dont il faut se prémunir pour en profiter pleinement.

Les bénéfices incontestables du vélo

La pratique du vélo offre de nombreux avantages sur le plan de la santé. Il ralentit l’apparition des maladies chroniques et réduit les problèmes cardio-vasculaires. Il permet aussi de lutter contre le diabète, l’obésité ou encore l’ostéoporose. Mais ce n’est pas tout : le vélo est une activité bénéfique pour la santé mentale à l’instar de nombreuses activités de plein air.

Côté environnement, si moins de voitures circulent en ville, la qualité de l’air est améliorée du fait de la diminution des émissions de CO2, sans parler de la pollution sonore. De plus, il y a moins de risques d’accidents de voiture en ville.

Le vélo est donc excellent pour aller au boulot, mais aussi pour partir en vacances.

Les principaux risques liés à la pratique du vélo

Le premier risque est la chute, provoquant traumatismes et microtraumatismes (contusion des mains et des poignets). En cause, la vitesse trop élevée et le non-respect du code de la route. Il faut d’ailleurs souligner que les hommes subissent plus d’accidents que les femmes. Mais il faut aussi prendre en compte les risques environnementaux : la pluie ou la neige rendent le sol plus glissant.

Les dommages les plus fréquents causés par une chute sont la fracture du poignet, de la main et surtout du scaphoïde, ce petit os situé entre le poignet et le pouce. On trouve également la luxation à l’épaule, plus rarement la fracture du col du fémur. Par ailleurs, les genoux et les chevilles sont davantage exposés aux tendinites.

L’appui prolongé et répétitif des mains sur le guidon peut être à l’origine d’une compression des nerfs responsable d’un engourdissement. Généralement, celui-ci est temporaire, il disparaît à la fin du trajet. Mais parfois, ce symptôme persiste plusieurs semaines, voire plusieurs mois. Il s’accompagne de paresthésies et de douleurs nocturnes. Il faut donc consulter pour poser le diagnostic du syndrome du canal carpien. En cas de pratique intensive, la paralysie du cycliste peut même apparaître, il s’agit d’une compression du nerf cubital. Il faut alors parfois prévoir une chirurgie de la main .

Les gestes de prévention

Pour réduire les risques de chutes, il est conseillé de modifier son itinéraire afin de circuler dans des rues moins fréquentées ou privilégier les pistes cyclables. Les chutes sont aussi dues à un mauvais réglage du vélo. En diminuant également l’angle d’appui du guidon ou en ajustant la hauteur de la selle, on diminue la force du poids sur les mains et les microtraumatismes.

4 idées pour concilier voyage et tourisme durable

À l’heure où les messages en vue d’un comportement plus responsable se multiplient, le tourisme se met au vert. Les professionnels mettent désormais tout en œuvre pour réduire l’impact des voyageurs : conseils anti-gaspi, hébergement chez l’habitant, mode de transport plus vertueux… Il faut dire que le secteur est important pour l’économie, alors comment adopter une démarche durable dans des pays où la surpopulation touristique commence à être mal vue ?

  1. Privilégier une destination de proximité

Les transports sont très polluants, ils émettent des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique. Le Canada est vaste et de nombreux endroits restent à découvrir que ce soit en vélo, en train, en bus ou en co-voiturage. L’avantage est de ne pas avoir à se préoccuper du stationnement ou perdre du temps et de l’énergie dans les embouteillages.

Les pays voisins restent aussi un bon compromis. Et sur place, rien de plus sympa que de découvrir la région accompagnée d’un résident !

Si on veut aller plus loin, l’avion reste incontournable, mais on évite de le prendre plusieurs fois par an. Mieux vaut organiser un safari privé de 15 jours en Afrique par exemple que de multiplier les petits séjours à l’étranger.

  1. Choisir un hébergement chez l’habitant ou écolabellisé

Les gros complexes hôteliers ne favorisent pas forcément l’emploi local, les contrats sont le plus souvent saisonniers. Loger dans de petites structures qui s’intègrent parfaitement dans le paysage est plus durable tout comme les gîtes, les campings ou même l’habitant.

La bonne astuce est l’échange de maison. La formule est idéale pour héberger toute une famille moins cher, le confort en prime. Et votre maison ne restera pas inoccupée pendant vos vacances, vous réduirez en même temps le risque de cambriolage !

  1. Éviter les lieux trop fréquentés

Le tourisme de masse fragilise certaines destinations. C’est le cas de Venise en Italie, du Machu Picchu au Pérou, des îles Galapagos, de l’Everest… Dans ces mêmes pays, il y a de nombreuses autres merveilles à découvrir. Monter à pied par les sentiers à Choquequirao plutôt qu’en minibus au Machu Picchu par exemple.

  1. Prendre son temps

On a tendance à surconsommer les visites et les activités dans les endroits où l’on reste peu ou que l’on ne connaît pas du tout. Conséquence, on multiplie les trajets en voiture. En adoptant un programme plus léger, on pollue moins et l’on profite davantage de ce que l’on a sous les yeux.

5 cadeaux pour la St Valentin auxquels vous n’aviez pas pensé

La St Valentin est devenue un véritable marché de la consommation : parfums, fleurs, bijoux, montres, accessoires divers et variés font le bonheur des commerçants chaque année. Et si vous ne sacrifiez pas à cette tradition ? Il y a tellement d’autres moyens d’exprimer ses sentiments ! Nos idées les plus farfelues pour une St Valentin inoubliable.

  1. Booster votre sex appeal

Vous offrir des cours de guitare à Montréal, voilà de quoi surprendre votre partenaire ! Il faut dire que cet instrument est le compagnon idéal pour séduire, mais aussi pour exprimer vos émotions. Il donne confiance en soi, réduit le stress, stimule la matière grise. Et si votre partenaire en rêve depuis longtemps, offrez-vous un cours à deux pour l’aider à sauter le pas.

  1. Sauter en parachute

Que diriez-vous d’une chute libre de près d’une minute ? Sensation garantie ! Un saut tandem pour la St Valentin est le meilleur moyen de partager votre adrénaline avec votre partenaire, vous vous en souviendrez longtemps. Ce n’est peut-être pas la meilleure époque pour sauter, mais vous pouvez l’offrir sous forme de carte cadeau à valoir dès les premiers jours !

  1. Un pique-nique dans votre salon

Pas de dîner conventionnel au restaurant ! Poussez votre table basse, étendez une nappe au sol et disposez votre piquenique : saucisson, terrine, fromages, verres à vin, miche de pain ! Et selon comment ça se termine, vous êtes déjà chez vous !

  1. Une soirée jeu

Bon, il y a jeu et jeu ! Ne sortez pas votre Scrabble ce soir-là ! Mais c’est le moyen de passer un moment en amoureux rempli de complicité. Pourquoi un strip poker pour pimenter votre soirée ? Si vous tenez absolument à sortir, testez un lancer de haches ou de fléchettes entre amis ou à deux, frissons au programme !

  1. Piloter un Boeing

Oui, c’est possible et ça ne coûte pas plus cher qu’un saut en parachute. En fait, vous décollez, volez et atterrissez à bord d’un simulateur de vol, mais c’est comme si vous y étiez ! Direction Laval où un pilote professionnel vous briefera avant de vous laisser les commandes de l’avion. Une expérience dans le virtuel pour le moins surprenante ! Pour la St Valentin, Aérosim Expérience propose un forfait de 35 minutes de vol par personne et un verre de champagne.

Entreposage : pourquoi toujours faire un audit ?

L’audit est une évaluation diagnostic, il sert à mesurer et à améliorer les performances de l’entreprise, en l’occurrence ici celles de la chaîne logistique. Il est donc indispensable pour optimiser la stratégie d’entreprise, mais aussi pour maîtriser les coûts. Quelques conseils pour effectuer le vôtre.

Les objectifs de l’audit

La finalité de l’audit est de s’assurer que tous les moyens mis en œuvre réduisent les coûts du transport, du stock et surtout de l’entreposage, tout en optimisant les performances. Au bout de la chaîne, on mesurera donc aussi la satisfaction client (délais de livraison raccourcis par exemple). L’audit part de l’analyse de l’existant par rapport à un référentiel défini de façon à mesurer les écarts, les identifier et proposer des recommandations pour y remédier.

Les méthodes de l’audit

Pour réaliser un audit logistique dans sa propre entreprise, il faut s’appuyer sur des indicateurs de performance. Ils sont d’ordre financier (coûts logistiques), organisationnel (volume de réception, surface de stockage, productivité des salariés), mais aussi en relation avec le marché (délai de livraison au client). Leur analyse mettra en exergue les dysfonctionnements éventuels ou les postes à améliorer. Les résultats permettront de mettre en œuvre un plan d’action.

Les salariés audités ne doivent pas se sentir jugés. Il faut donc clairement énoncer les objectifs pour recueillir l’adhésion de tous. La personne responsable de l’audit s’appliquera à être à l’écoute, elle évitera d’interpréter ou de devancer les réponses, mais s’en tiendra aux faits, elle sera attentive aux comportements de chacun de manière à ne pas gêner ou provoquer un malaise.

Le questionnement lui-même sera construit de manière méthodique de manière à apparaître comme le plus naturel possible. On alternera donc les questions ouvertes, les questions fermées et les reformulations. On l’appelle la méthode de l’entonnoir, une technique utilisée pour la vente. On peut aussi se baser sur le questionnement Quintilien (QQCOQP : qui, quoi, comment, où, quand et pourquoi) sans s’appesantir sur le pourquoi parce qu’il invite le salarié à se justifier.

Les actions à planifier

Une fois tous les freins identifiés, il faut définir un plan d’action. Le secret de la réussite repose sur un climat de confiance. Pour cela, les nouvelles procédures à appliquer seront simples et les rôles de chacun bien définis.

Au niveau de l’entreprise, une des solutions pour optimiser l’entreposage pourra être de réduire les coûts par des étagères métalliques durables.

Êtes-vous éco responsable en voyage ?

On peut être écoresponsable même en voyage, mais peut-être avez-vous déjà adopté les bons réflexes pour réduire votre empreinte carbone ! Pour les autres, voici un petit guide de l’écocitoyen en vacances.

Les transports ou comment se déplacer en émettant moins de CO2

L’avion est le mode de transport le plus polluant. Il émet 360 g équivalents CO2 par personne et par kilomètre ! Une vraie prise de conscience pour réduire au maximum ses trajets. Ne pensez pas que la voiture soit mieux, même si elle pollue dans de moindres proportions, un véhicule diesel émet tout de même 180 g équivalents CO2 par personne et par kilomètre.

Préférez le covoiturage pour limiter la facture et adoptez l’écoconduite, plus souple et moins énergivore. Ou encore le bus, il vous laissera au cœur de la ville, vous n’aurez pas besoin de prendre un taxi. Bannissez la climatisation l’été, vous consommerez plus. Le meilleur mode de transport reste le vélo, en plus vous aurez l’avantage de voyager à votre rythme.

Le tourisme propre, ça existe !

Les belles plages de sable fin paradisiaques ont un prix : zéro déchet ! Rapportez les vôtres avec vous pour les jeter à la poubelle. En les laissant sur place, vous incitez les autres à en faire autant. Mieux, si vous en trouvez, ramassez-les.

Les plastiques, les mégots de cigarettes, les chewing-gums sont hautement polluants. Ils se déversent dans la mer et intoxiquent les animaux marins. Même les plastiques soi-disant biodégradables mettent des années à disparaître.

Si vous campez en pleine nature, ne faites jamais de feu de camp, le risque d’incendie est bien trop grand.

Le tourisme responsable, c’est aussi ne pas rapporter certains souvenirs…

L’époque n’est plus au ramassage du corail ou au prélèvement des étoiles de mer. Les écosystèmes sont devenus fragiles et précaires. Si vous êtes amateur de plongée sous-marine, obtenez un prêt express en ligne pour vous offrir un bon appareil photo étanche ou une caméra et rapporter plutôt des images. Évitez les écailles de tortues et les objets en ivoire, ces animaux sont protégés et vous encouragez le braconnage.

Ne nourrissez pas non plus les animaux sauvages, certains comme les mouettes deviennent agressives parce qu’ils ont l’habitude qu’on leur donne de la nourriture.

Logez chez l’habitant plutôt qu’à l’hôtel, en plus c’est moins cher. Le couchsurfing est à la mode. Vous logerez gratuitement pour une ou deux nuits chez chacun d’eux. Cinq millions de personnes sont déjà adeptes à travers 250 pays !

L’activité physique remplace-t-elle vraiment les médicaments ?

Les bienfaits du sport ne sont plus à démontrer sur la santé. Mais de nombreuses études démontrent que si l’activité physique a des vertus préventives, elle est aussi curative ! Un jogging en guise de médicament ? Pourquoi pas !

L’activité physique réduit le taux de mortalité

Trois heures d’activité physique modérée réduisent de 30% le risque de mortalité prématurée. Elle améliore en effet la circulation du sang, la pression sanguine, la fluidité du sang et équilibre le taux de cholestérol. Les risques cardio-vasculaires diminuent ainsi de 35%.

Les effets du sport sont supérieurs aux médicaments

Il est scientifiquement prouvé que le sport soigne de nombreuses pathologies, et quand la preuve n’a pas encore été apportée, les présomptions sont très fortes. Ainsi, on sait que l’hypertension sera combattue par 5 séances de sport hebdomadaires pendant trois ans à l’instar d’un traitement médicamenteux. Dans le cas du diabète, 45 minutes de marche, de vélo ou de natation trois fois par semaine est même deux fois plus efficace qu’un médicament contre le diabète. De nombreux exercices sont prescrits pour soulager la douleur. Par exemple étirer le nerf du canal carpien comme traitement du syndrome du tunnel carpien remplace aisément les anti-inflammatoires.

Du sport sur ordonnance dans les cas de cancers

Des médecins français affirment qu’un programme d’activités physiques chez les personnes atteintes d’un cancer du sein, du côlon ou de la prostate permettrait d’économiser d’énormes sommes d’argent dépensées en traitements conventionnels. D’ailleurs les pôles d’oncologie proposent des séances d’activités sportives aux patients parce qu’elles réduiraient de 50% les récidives de ces cancers !

Le sport comme antidépresseur

Une activité physique régulière agit aussi sur la santé mentale et serait aussi efficace qu’un antidépresseur, hormis dans les cas graves de dépression où la combinaison avec un traitement médicamenteux est essentielle. Mais dans les cas de dépression légère, le sport serait même plus sûr parce qu’il améliore l’humeur et diminue les symptômes dépressifs durablement. Les doses d’activités sportives nécessaires ont même été évaluées par les médecins. Il en ressort que ceux qui pratiquent une activité intense diminuent leurs symptômes de 47% tandis que ceux qui suivent un programme  de faible intensité les réduisent de 30%. Qu’entend-on par forte intensité ? L’impossibilité de poursuivre une conversation au téléphone en courant par exemple !

Si vous n’étiez pas encore convaincu de bien-fondé du sport, faites-en votre résolution pour 2020 !

Voiture électrique : est-ce une bonne option contre la pollution environnementale ?

Le changement climatique ! Voilà l’un des défis majeurs de l’humanité, ces derniers siècles. Les politiciens, les ONG, les scientifiques, sont à pied d’œuvre pour trouver des solutions. En France, le secteur des transports est le principal secteur de pollution urbaine. Comme une bonne solution à ce problème, de nouveaux moyens de transport sont construits : trottinette électrique, vélo électrique, moto électrique, mais aussi et surtout voiture électrique. L’objectif premier pour les précurseurs de ces inventions, est la réduction des émissions de gaz. Mais, la voiture électrique est-elle une option efficace contre la pollution environnementale ? Continuez la lecture, pour trouver la réponse à cette question.

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Quelles activités sportives effectuer au cours d’un team building ?

L’évolution et le succès d’une entreprise, dépendent en partie, de l’ambiance et de l’harmonie qui règnent entre ses employés. L’équipe que constituent les employés, doit avoir une bonne performance et une bonne cohésion interne. Lorsque cela n’est pas le cas, il devient alors nécessaire de renforcer cette cohésion, afin de faire prospérer l’entreprise. Le team building est l’un des moyens les plus efficaces, pour le renforcement de la cohésion interne au sein d’un groupe de personnes. Il regroupe un certain nombre d’activités, permettant de motiver les employés et d’améliorer leurs performances. Découvrons l’essentiel sur le concept de team building.

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